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REVUE de presse
Contact presse
Nathalie Gasser - 06 07 78 06 10 gasser.nathalie.presse@gmail.com
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Chargée de diffusion
Jessica Regnier - 06 67 76 07 25 j.regnier@lagds.fr
photos du spectacle
Crédit Photo
Patrick Berger
Luc Jacquin
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Marie Menechi
en réalités
d'après La Misère du monde de Pierre Bourdieu
adaptation Marie Menechi et Alice Vannier
mise en scène Alice Vannier
avec Anna Bouguereau, Margaux Grilleau, Adrien Guiraud, Hector Manuel, Sacha Ribeiro et Judith Zins
assistante à la mise en scène
conception lumière
scénographie
conception son
régie lumière
Spectacle double lauréat du Prix Théâtre 13 / Jeunes metteurs en scène 2018
Clément Soumy
Camille Davy
Manon AMOR
Clément Soumy
du 5 au 24 juillet
les jours impairs
11h40
SALLE 1
en réalités
"Ce que le monde social a fait, le monde social peut le défaire" Pierre Bourdieu
Compagnie Courir à la Catastrophe
/ Antisthène
Durée 1h30
11h40 les jours impairs
Salle 1
du 5 au 24 juillet 2019
réserver >
Le projet >
Pourquoi les gens font ce qu’ils font ? Comment la société, les institutions, les médias déterminent-t-ils nos comportements et notre vision du monde ? Comment l'individu existe-t-il au milieu de ces déterminations sociales si puissantes ?
C’est à travers une suite de mise en résonance de visions de la réalité que nous tenterons ensemble de répondre à ces questions. Entre chaque entretien, nous suivrons, comme un fil rouge, les sociologues dans leurs réflexions, leurs désaccords, leurs incertitudes quant au projet de rendre publiques ces propos privés. Ainsi, les six comédien·n·es passeront subtilement d’un rôle à l’autre, d’une vision à une autre, en essayant de suivre eux/elles-mêmes cette maxime de Spinoza qui débute l’ouvrage de Bourdieu: « ne pas déplorer, ne pas détester, ne pas rire, mais comprendre ».
Comprendre pourquoi les gens font ce qu’ils font était la démarche de Bourdieu et devrait être la notre à chaque instant. Dans La Misère du monde, les individus s’accusent mutuellement d’être les bourreaux les uns des autres sans même se rendre compte qu’ils sont victimes d’un même système qui vise à les diviser au lieu de les réunir dans un même combat. Ce recueil met côte à côte des personnes séparées par des gouffres sociaux et pourtant chacune d’elles vit, dans son milieu, une forme d’exclusion.
Comme tous ces gens, réunis dans un même ouvrage, nous faisons tou·te·s partie du même monde et si nous voulons profondément le changer nous devons nous atteler à comprendre les causes des propos qui nous révoltent ou des violences qui nous choquent et nous y confronter plutôt que de nous remplir stérilement de peur et de haine face aux conséquences.
La compagnie Courir à la Catastrophe est née suite à notre rencontre pendant notre formation à l'ENSATT. Nous avions, avant tout, le désir de travailler ensemble mais aussi celui de porter, chacun.e, nos propres projets. Nous avons donc réfléchi à une structure qui serait capable de réunir et de réaliser toutes ces envies.
C’est l’idée de courir pour ne pas s’enraciner, courir le monde, courir les rues, courir à perdre haleine, courir sur le haricot, courir comme un dératé, courir après son ombre ou vers sa propre mort…
Se dépasser, se déborder, se chercher, se tromper, tomber, amoureux, dans le panneau, dans le fossé, à la renverse.
Au risque, qui court, toujours, d’aller à la catastrophe.
Nous avons le désir profond, à travers notre théâtre, de transmettre une autre idée de ce que pourrait être la force, la réussite, la beauté en tentant, autant que possible, de s’avouer : fragiles, ignorant.e.s, faibles, humain.e.s.
Il s'agit pour nous de ne pas faire un théâtre qui nous éloigne de la vie mais au contraire, qui nous y plonge pleinement, un théâtre qui cherche sans arrêt, qui fouine, qui racle, qui s'essaye à démonter les mécanismes pour comprendre un peu mieux qui nous sommes et ce que nous faisons.
Les deux premiers projets de la Cie se créent et se nourrissent à partir de matières autres que théâtrales. L'un est une écriture de plateau, 5 4 3 2 1 J'EXISTE (même si je sais pas comment faire), et le second, En réalités, est une adaptation de La Misère du Monde de Pierre Bourdieu qui a remporté les prix du public et du jury du Prix Théâtre 13/Jeune metteur en scène.
Sacha et Alice
Production
antisthene.fr contact@antisthene.com
Co-production
Théâtre 13, Théâtre des Clochards Célestes
Partenaires et soutiens
Arcadi Ile de France, Fondation Polycarpe, ENSATT, Opéra de Massy, SPEDIDAM et SACD
Après deux années de théâtre avec Bruno Wacrenier et une année avec Stéphanie Farison au conservatoire du 5ème arrondissement, Alice Vannier intègre, en 2014, l’ENSATT. Elle travaille notamment avec Guillaume Lévêque, Aurélien Bory, Agnès Dewitte, Alain Raynaud, Dominique Pitoiset, Catherine Hargreaves et d’autres.
A sa sortie d’école en 2017 elle joue dans L’expression du tigre face au moucheron mis en scène par Daria Lippi qui jouera au CDN de Thionville en mars 2020. Elle crée, avec Sacha Ribeiro, la Compagnie CALC qui compte, cette année, deux projets : En réalités, d'après La Misère du monde de Bourdieu, qu’elle met en scène, et une co-création, 54321 J’EXISTE (même si je sais pas comment faire), écrite, mise en scène et jouée aux côtés de Sacha Ribeiro. Elle participe également, en tant que comédienne, à La Parabole de Gutenberg, écrit et mis en scène par Léa Carton de Grammont, au Théâtre des Clochards Célestes à l'automne 2019 ainsi qu'à Black Mountain de Brad Birch, mis en scène par Guillaume Doucet, tournée en 2020. Enfin, elle est collaboratrice artistique sur le spectacle Jacqueline, mise en scène par Olivier Martin-Salvan.
Résumé
C.A.L.C.
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alice vannier
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